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Choses à Savoir TECH

Choses à Savoir
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  • Comment Thales et Orange veulent sécuriser les grands événements ?
    L’été 2024 restera une période-clé pour Thales et Orange Business. Tandis que les projecteurs du monde entier étaient braqués sur Paris et ses Jeux Olympiques, en coulisses, une révolution technologique discrète mais décisive prenait forme. Une alliance stratégique entre deux géants français, dont les effets pourraient bien redéfinir l’avenir sécuritaire des grands événements en France.Le défi était immense : sécuriser plus de 50 sites sensibles à travers l’Hexagone, et ce, en un temps record. Thales et Orange Business ont relevé ce pari grâce à la Smart Digital Platform, véritable tour de contrôle numérique conçue par Thales. Une plateforme capable de superviser des milliers de points simultanément, en croisant vidéosurveillance HD, capteurs intelligents, et algorithmes d’IA prédictifs. Résultat : une gestion proactive de la sécurité, capable de prévenir les incidents… avant même qu’ils ne surviennent.Ce partenariat express a permis de mutualiser des outils puissants : chez Orange Business, des solutions comme Flux Vision, pour analyser les flux de population grâce aux données mobiles, ou Live Objects, pour connecter l’Internet des objets, sont venus compléter les infrastructures de Thales. Ensemble, ils ont bâti un écosystème technologique souverain, résilient et parfaitement adapté aux exigences modernes. Mais l’ambition ne s’arrête pas aux JO. Ce socle technologique est désormais proposé à d’autres acteurs : collectivités, sites sensibles, entreprises privées. L’objectif ? Démocratiser l’accès à ces outils de pointe, jusque-là réservés à des projets exceptionnels.Pour Makrem Dridi, vice-président sécurité chez Thales, l’enjeu est clair : « Proposer une offre plus riche, souveraine et résiliente, adaptée aux besoins concrets du terrain. » La suite ? Elle se joue déjà autour de la cybersécurité quantique, de l’intelligence artificielle embarquée et de l’IoT avancé. Une chose est sûre : Orange Business et Thales entendent bien sécuriser l’avenir technologique de la France, main dans la main. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:12
  • Claude 4 Opus peut vous dénoncer à la police ?
    Lancée en fanfare il y a quelques jours, la nouvelle génération d’intelligences artificielles signée Anthropic — Claude Opus 4 et Claude Sonnet 4 — impressionne déjà par ses performances, notamment en programmation. Mais derrière les prouesses techniques, une polémique éthique est venue jeter un froid.En cause, une série de messages publiés sur X par Sam Bowman, responsable de la sûreté des IA chez Anthropic. Il y affirmait qu’un modèle d’IA, dans certains cas extrêmes, pourrait automatiquement alerter les autorités si l’utilisateur se livrait à des activités jugées gravement immorales. Exemple cité : la tentative de commercialisation d’un médicament à partir de données falsifiées. L’IA, dans un environnement de test, pourrait alors utiliser un outil de messagerie pour dénoncer ces agissements. Des propos qui ont immédiatement enflammé la toile. Certains internautes dénoncent une IA "moucharde", menaçant la confidentialité des échanges. Une vague d’indignation suffisamment forte pour contraindre Bowman à faire machine arrière.Résultat : plusieurs messages ont été supprimés, et un communiqué plus nuancé a suivi. Selon lui, cette fonctionnalité n'existe que dans des conditions de test très spécifiques, avec des permissions et des scénarios exceptionnels. « Cela n’est pas possible dans un usage normal », a-t-il assuré. Mais le mal est fait : cette affaire relance le débat sur les limites à imposer à l’autonomie des intelligences artificielles. Jusqu’où doit aller leur pouvoir d’intervention ? Et surtout, que reste-t-il de notre liberté d’interagir avec ces modèles si l’ombre de la surveillance plane ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:54
  • Une opération de police numérique historique menée par la France ?
    C’est un séisme dans le monde souterrain du numérique. Une opération internationale d’une ampleur inédite vient de frapper au cœur les réseaux criminels du darknet, grâce à une coordination sans faille entre Europol, les forces de l’ordre françaises, et plusieurs services américains. Baptisée Opération RapTOR, cette manœuvre transnationale a mobilisé les polices de dix pays, dont la gendarmerie et les douanes françaises, le FBI, l’ICE et la DEA. Résultat : des frappes synchronisées qui ont pris les suspects de court, évitant toute fuite. Les États-Unis ont procédé à 130 arrestations, l’Allemagne à 42, le Royaume-Uni à 37, et la France n’est pas en reste avec 29 interpellations. La Corée du Sud, elle, en compte 19. Ces chiffres révèlent l’ampleur mondiale de cette criminalité numérique, désormais bien implantée aux quatre coins du globe.L’opération s’inscrit dans la lignée du coup de filet “SpecTor” de 2023, qui avait permis l’arrestation de 288 individus. Cette fois, les enquêteurs ont ciblé les anciens utilisateurs des places de marché clandestines récemment démantelées, comme Nemesis, Tor2Door ou encore Kingdom Market, dans une stratégie méthodique : remonter les filières après avoir abattu les têtes de réseau. Et les résultats sont spectaculaires : 200 millions de dollars saisis, en cryptomonnaies et en liquide, deux tonnes de drogues confisquées – dont 144 kilos de fentanyl, cet opioïde ravageur – et 180 armes à feu. Sans compter 4 tonnes de tabac de contrebande et 12 500 produits contrefaits.Ces chiffres témoignent d’un darknet devenu un véritable supermarché du crime, où drogues, armes et faux papiers s’échangent en quelques clics. Et si les criminels tentent désormais de contourner la surveillance en créant des boutiques individuelles, plus discrètes, cette opération RapTOR démontre que l’impunité n’est plus garantie. La technologie qui protégeait hier les cybercriminels devient aujourd’hui leur piège. Après le démantèlement du malware Lumma Stealer, les autorités viennent de frapper un grand coup : un signal fort pour ceux qui croyaient encore que l’anonymat numérique était une armure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:15
  • OpenAI veut vendre 100 millions d’unité de son appareil mystère ?
    C’est une alliance qui fait beaucoup parler dans le monde de la tech : OpenAI, le géant de l’intelligence artificielle, a mis la main sur la start-up io, fondée par Jony Ive, l’ancien designer vedette d’Apple, à qui l’on doit les lignes iconiques de l’iPhone, de l’iMac ou encore de l’Apple Watch.Depuis, une question brûle toutes les lèvres : quel appareil ces deux géants préparent-ils ? Un objet encore mystérieux, mais qui, selon les mots de Sam Altman, PDG d’OpenAI, pourrait redéfinir notre rapport à la technologie… et à l’intelligence artificielle. Lors d’une réunion interne, dont un enregistrement s’est retrouvé entre les mains du Wall Street Journal, Altman a dévoilé une ambition claire : vendre 100 millions d’unités de ce futur produit. Pas dès le premier jour, bien sûr, mais « plus vite que n’importe quel appareil lancé auparavant », a-t-il affirmé.Mais alors, à quoi ressemblera cet objet ? Pas un smartphone, Altman et Ive veulent justement aider les utilisateurs à se détacher de leurs écrans. Pas non plus des lunettes, ni un appareil à porter sur soi. Ce que l’on sait, c’est que le dispositif sera discret, conscient de son environnement, facile à transporter, glissé dans une poche ou posé sur un bureau. L’objectif ? Créer un nouvel indispensable, aux côtés du smartphone et de l’ordinateur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:44
  • France Travail surveille les chômeurs avec des robots ?
    Depuis le début de l’année, une petite révolution silencieuse se joue dans les bureaux de France Travail, l’ex-Pôle Emploi. L’intelligence artificielle y a fait son entrée, non pas pour remplacer les conseillers, mais pour les épauler… ou, selon certains, pour surveiller davantage les demandeurs d’emploi.D’un côté, l’organisme public expérimente un chatbot qui assiste les conseillers lors des rendez-vous, afin d’identifier plus rapidement les offres correspondant au profil du chômeur. Une aide à l’accompagnement, donc. Mais de l’autre côté, la face cachée de l’automatisation suscite de vives inquiétudes. L’association La Quadrature du Net révèle que France Travail utilise désormais des algorithmes de contrôle automatisé dans le cadre du programme baptisé « Contrôle de la Recherche d’Emploi rénové ». En clair : des robots classent les chômeurs selon un degré de suspicion, à partir de leurs données personnelles.Trois catégories sont définies :– "Clôture", pour ceux jugés actifs,– "Clôture potentielle", quand le doute s’installe,– "Contrôle potentiel", pour les profils considérés à risque.Les contrôleurs peuvent alors cibler leurs efforts sur les dossiers signalés. Résultat espéré : 1,5 million de contrôles en 2027, contre 600 000 en 2024.Mais sur quels critères repose ce tri ? L’absence de candidatures envoyées, de formation récente, de connexion aux outils numériques ou de contact avec son conseiller peut suffire à déclencher une alerte. La non-réalisation des 15 heures d’activité hebdomadaire – exigence de la loi "Plein emploi" entrée en vigueur en janvier – est aussi un élément déterminant. Pour La Quadrature du Net, c’est une dérive technocratique et répressive. L’ONG dénonce une logique de profilage policier, couplée à une opacité totale : France Travail refuse de communiquer les détails techniques du système. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:58

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Generated: 6/2/2025 - 6:18:27 PM